Dimanche dernier dans le Cantal, un jeune conducteur de 21 ans a été contrôlé à 134 km/h sur une route limitée à 80. Si l’excès de vitesse était important, la vitesse retenue par les gendarmes lui évite de peu les sanctions maximales prévues pour un grand excès de vitesse.
Il n’est pas passé loin de la correction et cela lui aurait coûter bien plus cher. En milieu d’après-midi, sur la N122, les gendarmes du Cantal interceptent un jeune Aveyronnais au volant, flashé à 134 km/h sur un tronçon où la vitesse maximale autorisée est de 80 km/h.
Avec plus de 50 km/h de dépassement, il entrait dans la catégorie du grand excès de vitesse, passible de lourdes sanctions : 1 500 € d’amende, retrait de 6 points, suspension du permis pouvant aller jusqu’à trois ans, voire confiscation du véhicule. Heureusement pour lui, après application de la marge technique, la vitesse retenue est descendue à 127 km/h. Cela reste un excès conséquent, mais en dessous du seuil fatidique... Le délit.
Il écope donc d’une amende forfaitaire de 135 €, d’un retrait de 4 points sur son permis, d’une suspension de trois ans et d’une interdiction de conduire certains véhicules motorisés pendant la même durée. Un stage de sensibilisation à la sécurité routière lui sera également imposé.
Dimanche dernier dans le Cantal, un jeune conducteur de 21 ans a été contrôlé à 134 km/h sur une route limitée à 80. Si l’excès de vitesse était important, la vitesse retenue par les gendarmes lui évite de peu les sanctions maximales prévues pour un grand excès de vitesse.
