Flashé à 190 km/h pour "tester une moto", son essai finit à la fourrière
Credit Photo - Gendarmerie Nationale
Le 30/05/2025
Sur la D225 dans le Vaucluse, les gendarmes pensaient avoir tout vu. Jusqu’à ce qu’un jeune Nîmois de 26 ans soit flashé à 190 km/h au guidon d’une moto... pour une raison pour le moins originale : il voulait savoir si elle conviendrait à son frère.
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Ce dimanche-là, les militaires de la Gendarmerie de Vaucluse effectuaient un banal contrôle de vitesse sur une portion limitée à 90 km/h, entre Cavaillon et Apt.
Un test à 190 km/h
Mais lorsqu’ils ont enregistré une vitesse deux fois supérieure à la limite autorisée, ils ont immédiatement intercepté le conducteur. À leur grande surprise, celui-ci n’était pas en fuite ni en rodéo, il expliquait calmement qu’il testait la moto de sa tante pour son frère, futur acheteur. Malgré son calme, le contrevenant a dû laisser sur place le deux-roues, direction la fourrière, pendant que son permis de conduire lui était immédiatement retiré.
Une moto immobilisée et un permis à repasser
Si l’intention familiale prête à sourire, la sanction, elle, est bien réelle. Outre la confiscation immédiate de la moto, le jeune homme devra repasser l’examen du permis pour pouvoir reprendre le guidon. Ce type d’infraction est qualifié de grand excès de vitesse, avec des sanctions pouvant inclure jusqu’à 3 ans de suspension de permis, une amende de 1 500 euros et, dans certains cas, la confiscation définitive du véhicule.
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Flashé à 190 km/h pour "tester une moto", son essai finit à la fourrière
Sur la D225 dans le Vaucluse, les gendarmes pensaient avoir tout vu. Jusqu’à ce qu’un jeune Nîmois de 26 ans soit flashé à 190 km/h au guidon d’une moto... pour une raison pour le moins originale : il voulait savoir si elle conviendrait à son frère.