Sur une route de Haute-Saône, un conducteur pressé a été intercepté en grand excès de vitesse à plus de 200 km/h. Sans surprise, les sanctions ont été immédiates : permis retiré, voiture envoyée en fourrière. C’est le prix à payer pour ce genre de prise de risque.
Le week-end dernier, sur la RN19 au niveau de Luze, les gendarmes de la brigade motorisée ont contrôlé un automobiliste roulant à 201 km/h sur un axe limité à 110 km/h. Face à une telle vitesse, les forces de l’ordre n’ont pas tergiversé : permis confisqué sur-le-champ et véhicule immobilisé.
Un tel excès de vitesse relève du délit routier. Outre la suspension immédiate du permis et la mise en fourrière du véhicule, des poursuites judiciaires peuvent suivre. Mais au-delà des sanctions, c’est la sécurité de tous les usagers qui est directement menacée.
Et ce conducteur n’était pas un cas isolé. La veille, deux autres automobilistes ont été arrêtés sur cette même portion pour des vitesses enregistrées à 181 km/h et 154 km/h. Âgés de 30 et 20 ans, ils ont eux aussi fait l’objet de sanctions pour grand excès de vitesse.
Face à cette recrudescence, les autorités rappellent une évidence trop souvent oubliée : la vitesse reste l’une des principales causes de mortalité sur les routes. Et chaque infraction de ce type met potentiellement des vies en danger.
Sur une route de Haute-Saône, un conducteur pressé a été intercepté en grand excès de vitesse à plus de 200 km/h. Sans surprise, les sanctions ont été immédiates : permis retiré, voiture envoyée en fourrière. C’est le prix à payer pour ce genre de prise de risque.
